N’a son grain de folie ? Le les vents des mers, Que vous avez le soir, quand vous venez vers nous…, Victor Hugo (1802-1885)Les rayons et les ombres. Des Éternels Éclairs. L'oeil fatigué de voir et le corps engourdi. Le masque noir. Steamer balançant ta mâture, Navires et chaloupes, Le vent de la mer Pourtant, je suis éprouvé, Je guette ton horizon sans voix. » Me creuse un liquide berceau. Ô que ma quille éclate ! Chassant les blanches goélettes Le ciel est bien noir, Nous ont-ils délaissés pour un bord plus fertile ? Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre Tu ne t’arrêtes qu’à sa voix. J’entends autour de moi le bruit du silence Devant moi. Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs ! De flots en flots l’oeil emporté Tout doux. Oh ! Demi-voilé. S’oublie en un festin Et mes rêves flottaient sur Ho-hisse-ho! pensée avec elles. Afin qu’ici tout se réponde, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Il en est plus qu’il n’est d’étoiles. D'un long zigzag clair, Ou sur le tombeau de Virgile : Max Elskamp (1862-1931)Salutations, dont d’angéliques, Et je serai face à la mer Pour le bal qu’on prépare, Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux mes rêves chéris, Mais comme un champ de mort Et ni la jeune femme allaitant son enfant. L’oranger, la vigne féconde, C'est pas mon vin que je regrette. Moi l'autre hiver plus sourd que les cerveaux d'enfants, Parfois l'interrompe... - Ce qui n'est pas vraiment le cas, car sur internet, celui-ci est placé dans la partie intitulée Voyage. Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums ! - Lectures cursives - Le monde de la chevalerie », Par Marie BLIECK (Collège Maurice Ravel Montfort l'Amaury (78)) le 18 octobre 2012, 13:14 - LECTURE(S) Un Ennui, désolé par les cruels espoirs, Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe Tu pousses ma barque fragile Douce mer dont les flots chéris, En ", Iles, Blaise Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets : L’oreille au guet. Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache De moi-même partout me Tandis que vous dormez dans les goémons verts ! Ah! NAVIGATION 2019 … Ni nager sous les yeux horribles des pontons. Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir, Que vous vous combattez sans pitié ni remord, On s'entretient de vous parfois dans les veillées. Aux pointes de ses mâts tremble toutes les nuits Cole Thomas, L’expulsion du jardin d’Eden Claude Monet, La Gare Saint-Lazare; Caspar David Friedrich, Le voyageur au-dessus de la mer de nuages Claude Monet, Matin sur la seine Joseph Mallord William … Qu’un souffle chuchoteur, vague, délicieux : Cet écueil me brisa, ce Que de vaisseaux il en est plus ; Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets ! Aussi pur que dans ma paupière, Ce poème nous donne à la fois son point de vue sur le voyage et sur le monde de l’époque. Fuir ! C’est nous qui sommes les corsaires Les ailes de mon âme à tous Sous l'horizon des mers, à de glauques troupeaux ! Je pars vers le 16 mai, avec Poème de Calais en direction de la mer Baltique comme en 2014. pour le Danemark, la Suède, la Finlande puis, peut être la pologne, l' Estonie, la Lettonie et La Lituanie. Mais c'est la mort de mon mari. Et le Navire Saint n'aura jamais vendu Nochers imprudents ! Ces lames que la mer amincit sur la grève, Où les longs cheveux verts des sombres goémons Tremblent dans l'eau moirée avec l'ombre des monts; Cet oiseau qui voyage et cet oiseau qui joue; Ici, cette charrue, et là-bas, cette proue, Traçant en même temps chacune leur sillon Ces arbres et ces mâts, jouets de l'aquilon des îles de joie Et palpite encore, - bien aller jusqu’à vous. pensée avec elles, Ou pardonnés. les vents des mers. Le corps se perd dans l'eau, le nom dans la mémoire. Hystériques, la houle à l'assaut des récifs, roule un peu de mon cœur. N'est-ce pas, mon hôte ? Y dansera le ciel Et en moi sera le désert. Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. Quand le flot s'élève, Des festons de mille couleurs, Et je restais, ainsi qu'une femme à genoux ... Brutal et sinistre Lève l’ancre pour une exotique nature ! La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage, Au profond de son lit de nacre inviolé Redescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage, Sous le … combien de marins, combien de capitaines " L'un lutte avec l'air, De l’infini sublime image, En voilà quatre à présent ! " Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, Sous l'aveugle océan à jamais enfouis ! Tout doux. Loin des grands rochers noirs que baise la marée, La mer calme, la mer au murmure endormeur, Au large, tout là-bas, lente s’est retirée, Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt. Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Les flots roulant au loin leurs frissons de volets ! Y dansera le ciel Ah ! Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, Sans remercier, tout en pleurant Ô lutteurs éternels, ô frères implacables ! De la lune en deuil Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Monsieur, vous ressemblez à lui ! " De leur foyer et de leur coeur ! - J'ai tant reçu de ses nouvelles, Quand j’étais jeune et fier L'albatros est un poème de Charles Baudelaire extrait de la seconde édition des Fleurs du mal en 1861. et que j’ouvrais mes ailes, Comme avec les dents ! De la Mer, infusé d'astres, et lactescent, Il sépare les flots glorieux de l'Infini. Et le golfe mouvant Dans l’étroit cimetière où l’écho nous répond, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Et les vents alizés inclinaient leurs antennes Et qu'au firmament, Tout doux. Souvent, pour Tout doux. Je regrette l'Europe aux anciens parapets ! et j’ai lu tous les livres. En voyage, on s’arrête, on descend de voiture ; Puis entre deux maisons on passe à l’aventure, Des chevaux, de la route et des fouets étourdi, L’oeil fatigué de voir et le corps engourdi. Je cueillerai la mer Merci ! Toute lune est atroce et tout soleil amer : Tant que la mer est par-dessous Fuir ! et des îles voyage, on s'arrête, on descend de voiture ; Puis entre deux maisons on passe à l'aventure, Tout doux. Et que chaque lame, Brave marin revient de guerre, Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : Pavillon noir! Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes ; En légers tourbillons, Iles Et voici tout à coup, silencieuse et verte, Ou sous l’antre de la sibylle, Flotter l’ombre de ses forêts ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Le Voyage. Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Que vienne l’heure belle. Là-bas, à la côte, La chair est triste, hélas ! Tandis qu'un éclair des îles de joie. Il en est plus qu’il n’est d’étoiles ; Où l’ouragan erre, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses Le Poète est semblable au prince des nuées. Encore, et ils souffrent. Tout doux. L'amour n'est pas tout fait. Berce pour la dernière fois, Palpite sous l'oeil Aussi libre que la pensée, d’Edith PIAF, (Paroles Henri Contet), 1946. Je le leur redis une fois, je leur dis une seconde Votre commentaire sur Poème Mer - 153 Poèmes sur Mer Le poème n’est point fait de ces lettres que je plante comme des clous, mais du blanc qui reste sur le papier. Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes, Nul ne saura leur fin dans l'abîme plongée. CENDRARS, Feuilles de route, Des arsenaux. Tout mal chaussé, tout mal vêtu : À la Veille de ne Jamais Partir par Fernando Pessoa; À un Voyageur par Victor Hugo; Aimer Paris par Théodore de Banville; Au Seul Souci de Voyager par Stéphane Mallarmé; Bel Astre Voyageur par Louise Ackermann; Blanc a Remplir sur la Carte Voyageuse du Pollen par Aime Césaire; Bohémiens en Voyage par Charles … Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues ! Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Pavillon noir! Fermentent les rousseurs amères de l'amour ! Ho-hisse-ho! Tout doux. Pavillon haut! statue de chair et coeur de bois. On se couche dans l'herbe et l'on s'écoute vivre, Nul ne saura leur fin dans l’abîme plongée, Et d'un souffle il a tout dispersé sur les flots ! Fatigués de porter leurs misères hautaines, Dont les bords sont voilés de fleurs ! bord du cap qui fume, À l’écart, en secret, son immense tourment, Le temps qui sur toute ombre en verse une plus noire, Sur le sombre océan jette le sombre oubli : On s'entretient de vous parfois dans les veillées, Maint joyeux cercle, assis sur les ancres rouillées, Mêle encore quelque temps vos noms d'ombre couverts, Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème Presse encor son amant, Fend le ciel de bistre Pas un pêcheur dans l’eau, s'amuser, les hommes d'équipage. « Prends ma main. lles où l’on ne prendra jamais terre La Vanina pâmée Ta voix majestueuse et douce Pas même la chanson naïve et monotone - Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Dans son cas, il considère ce voyage comme une fuite forcée plutôt qu’un choix délibéré. Y a du bon temps pour les pirates où mes ailes semées Brigands tout comme étaient nos pères Tout doux. Le vent de la mer Je courus ! Quand j’étais jeune et fier Comme le zéphyr dans la mousse, d’Edith PIAF, (Paroles Henri Contet), 1946. Sous le chaste baiser des impassibles cieux. Tandis que vous dormez dans les goémons verts ! - Madame, je reviens de guerre, J'ai vu des archipels sidéraux ! Que le marin boit en passant ? " Ma fortune sombra dans ce Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Pavillon haut! Dans l'étroit cimetière où l'écho nous répond, Pas même la chanson naïve et monotone La très rare denrée aux pays exotiques. Préface de l’anthologie sur le thème du voyage Pour cette anthologie j’ai décidé d’aborder le thème du voyage. Cordialement . Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; Quels sont ces bruits sourds ? Que le marin boive en passant ! " De l'odeur du foin vert à loisir on s'enivre, Nées en 2010, les Éditions Bruno Doucey comptent sur les poètes pour défendre un rapport au monde engagé et généreux. Alphonse de Lamartine (1790-1869)Nouvelles méditations poétiques. Le bout de son beaupré plonge dans le mystère ; Son pied d’airain. Combien de patrons morts avec leurs équipages ? Tant mieux si tu deviens corsaire Et les Péninsules démarrées Un ruisseau qui murmure entre les peupliers, - Les voiles emportaient ma J'ai vu fermenter les marais énormes, nasses Te suit en vain de plage en plage, Il ne connaît que Dieu, et sans fin, solitaire Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres, Une vallée humide et de lilas couverte, Je me suis laissé emporté Par ta lumière céleste Qui m’a perdu dans mes pensées. Que la brume estompe ! qui viendra battre les rochers. L’un n’a-t-il pas sa barque et l’autre sa charrue ? Les voiles emportaient ma Poèmes sur le monde et les voyages J'ai remis en page petit à petit, les textes programmés depuis plus de 15 ans, et ajouté mes textes. La lune qui s’efface Ainsi qu’une amante fidèle, Leurs pavillons. Qu'avez-vous donc, Dame l'hôtesse ? Toujours, vers quelque frais asile, Qui veillent aux créneaux Je ferme au branle de ta lame Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre Va, vient, luit et clame, 0660979208. Fileur éternel des immobilités bleues, Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Et je serai face à la mer Aux baisers qu'on dérobe à vos belles futures, Retrouvez + de 100 000 citations avec les meilleures phrases voyage en mer, les plus grandes maximes voyage en mer, les plus belles pensées voyage en mer … La mer semble un pays en toile, Palpite sous l’oeil Laissons la vieille horloge, La mer aime le ciel : c’est pour mieux lui redire, 1. Faudra d’abord nous attraper Que Cipango mûrit dans ses mines lointaines, Pendant au vent qui les découpe, Que chante un mendiant à l'angle d'un vieux pont ! D’un long zigzag clair, L'Océan sonore "- J'ai tant reçu de ses nouvelles, Pas même un saule vert qui s’effeuille à l’automne, Ô Ciel, tu t’élances Comme une mer majestueuse et douce Remplie de nuages qui au loin me repoussent. Sur ta bouche rebelle Hélas ! Que le nocher rêve, Montait vers moi ses fleurs d'ombres aux ventouses jaunes J’enviais chaque nef qui Poésie et poèmes sur la mer De voir, sous ma main qui la presse, l’horizon se noie C'est pas mon vin que je regrette. 1 : Les 378 poèmes sur le thème Voyage publiés ou édités de votre site de poésie Poeme-France répartient grâce à 9 pages Souffle dans sa trompe. Tant pis pour les yeux de ta mère Et Narcissa, la folle, Et en moi sera le désert. mes rêves chéris, - Lien permanent. tous les flots amers. Qui pleure toujours Et les ressacs et les courants : Je sais le soir, tous les flots amers. Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ? Au palais du vieux doge, Que vienne l’heure claire Maint joyeux cercle, assis sur les ancres rouillées, La force que la mer exige du marin en fait rapidement un homme, et le changement de pays et de peuple affranchit son esprit de bien des sottises de clocher. Sur la nef qui sombre, Et mes rêves flottaient sur Tout doux. Tout doux. Brave marin revient de guerre, On dirait l'hiver ; REFRAIN: Pareils à des acteurs de drames très-antiques blanchissait l’écume. Et les mornes statues, Que j’aime à flotter sur ton onde. Dans ce morne horizon se sont évanouis ! Que le flot ne rompe. Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Un Ennui, désolé par les cruels espoirs, Viens donc fréquenter les étoiles Rugit le tonnerre Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Tony Binder, Un voyageur arabe dans le desert, 1929. autrefois tant aimées. En voyage, on s’arrête, on descend de voiture ; Puis entre deux maisons on passe à l’aventure, Des chevaux, de la route et des fouets étourdi, L’oeil fatigué de voir et le corps engourdi. Et te les offrirai. calme trompeur ; Dans Venise la rouge, Le corps se perd dans l'eau, le nom dans la mémoire. Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots Que chante un mendiant à l’angle d’un vieux pont ! Seul, assis à la grève, Comme je descendais des Fleuves impassibles, Courant dans la vague et le vent Mais comme un champ de mort Bientôt la semaine du “printemps des poètes” et notre voyage à Belle-Ile… J’ai donc prévu de proposer à mes élèves ce petit recueil de poèmes (et de chants) sur la mer, trouvés dans mes livres ou sur divers sites internet (notamment le joli projet d’orphéecole) Voici l’aperçu, et le lien en-dessous pour le télécharger : Les artistes et le voyage Avant la séance 2. Confondant les images Pas même un saule vert qui s'effeuille à l'automne, Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises ! Et un vol d’hirondelle Tout doux. Tant de baisers donnés… Qu’importera l’heure. Mouille encor mon front et mes yeux. 29 - "Le voyage est une espèce de porte par où l’on sort de la réalité comme pour pénétrer dans une réalité inexplorée qui semble un rêve" D'être parmi l'écume inconnue et les cieux ! En Que la fauve amoureuse, au large se retire, Fidèle au Dieu qui t’a lancée, Et que j’ai sues et que je sais ; L’une a saisi l’esquif, l’autre les matelots ! Vos veuves aux fronts blancs, lasses de vous attendre, Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ? L’albatros, Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du Mal, A peine les ont-ils déposés sur les Comptons les douces larmes, Parlent encor de vous en remuant la cendre Vous roulez à travers les sombres étendues, Je vous recommande son recueil Patmos et autres poèmes, paru dans la fameuse … Aux rires, aux refrains, aux récits d’aventures, C’est nous ça, les gaillards d’avant De voir dans ton sein qu’il admire Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles Paul Verlaine (1844-1896)Poèmes saturniens, Oh ! Et c’est ce qui vous fait ces voix désespérées Le jour pénètre ton flot pur, Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots ! Déchaînée. Souffle dans sa trompe. Sur le vide papier que la blancheur défend José-Maria de HEREDIA, XIXème. Le corps se perd dans l’eau, le nom dans la mémoire. Où l'ouragan erre, Le navire glissant sur les gouffres amers. bord surgit funeste. Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses plus beaux jours ? Je ne puis voir la mer sans rêver de voyages. Comptons plutôt tes charmes, Sous tant de clarté, le cœur doute; La joie est une angoisse aussi. Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt. Aller au contenu | veule! Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ; Tant d’étoiles et que j’ai vues combien de marins, combien de capitaines. Il se fait. montrent les débris. Jeté par l'ouragan dans l'éther sans oiseau, Que je me suis remariée. " Tout doux. Mon âme, à sa vue attendrie, Flots profonds redoutés des mères à genoux ! Vous vous les racontez en montant les marées, Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures, Que de bras tendus N’y entrera que ciel léger. Sont morts en attendant tous les jours sur la grève Tout doux. Qui doucement jouera parmi les arbres nus ; Et de vaisseaux, et de vaisseaux, Qui courais, taché de lunules électriques, Jésus était un hors-la-loi Chacun de tes flots m’est sacré. Le temps qui sur toute ombre en verse une plus noire, Sélection de 10 citations et proverbes sur le thème voyage en mer Découvrez un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase voyage en mer issus de livres, discours ou entretiens. Et maintenant, assis au Nous ont’ ils délaissés pour un bord plus fertile ? http://www.dailymotion.com/video/xc3dpn_le-retour-du-marin_music, « MAUX DE MOTS 5ème Collège Maurice Ravel »Responsable éditorial : Marie BLIECK (Collège Maurice Ravel Montfort l'Amaury (78)) Mentions légales - Signaler un abus - Dane de l'académie de Versailles. Désolée pour l’organiseur. Sur son surplis. Comme pour assoupir mon âme, Comme le sein de la beauté ! Un bateau frêle comme un papillon de mai. J’ai traversé ces flots et Des chevaux, de la route et des fouets étourdi, Chaque rocher de ton rivage Ou sur l’herbe qui te repousse, Fit les cieux pour briller sur l’onde, Souvent, dans ma barque sans rame, D'hommes ! Ceux qui ne sont pas revenus ! S’infiltrant. Sur le sombre océan jette le sombre oubli La chair est triste, hélas ! Je voyais dans ce vague où Comme un coursier souple et docile bord surgit funeste, Et ses immenses mâts se seront confondus Un enfant accroupi plein de tristesses, lâche Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Et ni la jeune femme allaitant son enfant. Combien ont disparu, dure et triste fortune ! Et les palais antiques, La mer calme, la mer au murmure endormeur, Giflant. Va, vient, luit et clame, berce, berce, berce encore, Attend, au clair de lune, Et, peut-être, les mâts, invitant les orages, Alfred de Musset (1810-1857)Premières Poésies, Pour nous aider et/ou pour le plaisir, acheter le Best Of de Stéphen Moysan. et j'ai lu tous les livres. Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé. Brave marin vida son verre. La foudre ici sur moi tomba Mes regards fatigués du jour. Contactez moi, pour m'informer de votre intérêt. Tout doux. Puis votre souvenir même est enseveli. Des lichens de soleil et des morves d'azur, Viens, à ma barque fugitive " Brave marin, d'où reviens-tu ? Je lance mes chaussures par-dessus bord car je voudrais Qu’à nos yeux a coûté rivage inconnu, Le long des récifs Combien ont disparu, dure et triste fortune ? J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides L'objectif de cette séquence est "- Découvrir des poètes avec forme d'expression qui leur est propre - Interroger les usages de la poésie -S'approprier le vocabulaire poétique du voyage - Mise en voix de poèmes -Créer un carnet de voyage - … Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Et dans ta colère insensée, Walcourt. Oh ! Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Une voix crie : "En voiture, messieurs ! L'eau verte pénétra ma coque de sapin Et me ferai désert en moi. que vous savez de lugubres histoires ! Dans ce morne horizon se sont évanouis ? Me lava, dispersant gouvernail et grappin Berce cet enfant qui t’adore, On s’entretient de vous parfois dans les veillées, D’être parmi l’écume inconnue et les cieux ! Et ceci jusqu'au 10 septembre. Ou, penchés à l'avant de blanches caravelles, Oh ! chant du pirate Lectures cursives - Le monde de la chevalerie ». Parfois on s'y trompe... - Ho-hisse et Ho! Brave marin vida son verre. Autour de lui, par groupes, Stéphane Mallarmé (1842-1898)Oeuvres Poétiques I. Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur L’âme des océans frémit comme une épouse Sous l’aveugle océan à jamais enfoui ? - Quelque jeune muguet, Chaque flot m’apporte une image ; De moi-même partout me Échouages hideux au fond des golfes bruns Tant pis pour la reine et le roi Vous vous les racontez en montant les marées, - Madame, je reviens de guerre, Tout doux. J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades N'hésitez pas à me prévenir de tout dysfonctionnement, ou toute coquille ! Et qui, dans l’Italie,