L'Inter s'impose trois buts à un. Florentino Pérez, qui a formulé de nombreuses promesses, lui succède le 16 juillet[42]. Le prochain défi de Zidane sera de réussir ses débuts en Liga, dimanche, face à La Corogne. Puis le Real Madrid s'installa au Estadio Chamartín qui fut inauguré le 17 mai 1923 et pouvait accueillir 22 500 spectateurs : c'est dans ce stade que le Real fêta son premier titre de champion d'Espagne en 1932. Muñoz, entraîneur le plus titré du club (14 titres). Ce qui est un record[54]. Le club madrilène remporte le trophée chaque année de 1932 à 1936, avant que n'éclate la Guerre civile. Après avoir changé plusieurs fois de terrain, l'équipe s'installa au Campo de O'Donnell en 1912 qui resta sa résidence pendant onze ans. Cette équipe doit continuer à gagner. En 1931-1932, les Madrilènes remportent le championnat, la Liga, en restant invaincus. L'entraîneur Bernd Schuster, défaitiste avant le premier Clásico de la saison, est limogé et remplacé par l'espagnol Juande Ramos qui avait permis au FC Séville de remporter 2 Coupes de l'UEFA consécutives. Del Bosque, vainqueur des 8e et 9e Ligue des champions. Inauguré en 2005, ce centre s'étend sur 120 hectares et comprend plus de 21 000 m2 d'infrastructures. En Ligue des champions, le Real Madrid est cependant éliminé en demi-finale contre le Bayern Munich, à la suite d'une séance de tirs au but à la suite des deux matchs. Le club change de stratégie et décide de faire signer au club des joueurs étrangers de classe mondiale. Le 8 août, le Real Madrid remporte la Supercoupe de l'UEFA. Le 27 février 2006, à l'occasion d'un conseil extraordinaire des dirigeants du club, Florentino Pérez remet sa démission. "Je suis heureux, j'aime ce que je fais, c'est fabuleux." En finale, le Real bat l'Atlético Madrid 4-1 après prolongation. De par son prestige, le Real Madrid est régulièrement invité à des compétitions de gala dans le monde entier, et a remporté ainsi de nombreux trophées amicaux. Les premiers résultats sportifs de l'ère Bernabéu sont cependant plutôt décevants. S'il poursuit sur son rythme effréné et qu'il ne change pas de poste, Zidane peut espérer dépasser dans les prochaines années Miguel Muñoz, couronné à 14 reprises entre 1959 et 1974. Le livre éco de la semaine en VO : La décroissance, seule issue, Pierre Assouline : La tintinosphère en ébullition. Ces achats s'avèrent payant pour le club puisque Carlo Ancelotti, épaulé de Zinédine Zidane, parvient à remporter la Coupe d'Espagne 2-1 face au FC Barcelone. Le 27 juin, l'espagnol Isco quitte Málaga et rejoint le Real Madrid pour 30 millions d'euros (27 millions + 3 millions de bonus). Le 27 février, le Real perd le derby de Madrid face à l'Atlético (1-0) et anéantit pratiquement toutes ses chances de remporter la Liga 2015-16 en ayant 12 points de retard sur le FC Barcelone, premier du championnat. [61]. Heynckes, vainqueur de la 7e Ligue des champions. Depuis octobre 2009, le joueur le plus capé de l'histoire du Real Madrid est Raúl avec 741 matchs officiels joués. Ainsi, le 26 mai 2010, comme tous les entraîneurs du Real Madrid de ces vingt dernières années n'ayant gagné aucun titre lors de leur première saison au club, Manuel Pellegrini est licencié par Florentino Pérez à la suite d'une réunion du conseil d'administration[46]. Il fait aussi bien que son prédécesseur puisqu'il remporte la Liga avec 9 points d'avance sur Villarreal et 18 sur le FC Barcelone. En décembre, le club remporte la Coupe intercontinentale 1998 face aux Brésiliens de Vasco da Gama. Note(3): En 1960, le Real Madrid a participé à la première Coupe intercontinentale portant le blason de l'UEFA comme représentant européen dans la compétition. Ce trophée, décerné par le journal Marca, récompense le gardien qui a le meilleur ratio entre les matchs joués et le nombre de buts encaissés. Le 5 mars, le Real Madrid, triple tenant du titre, est éliminé en 1/8e de finale de la Ligue des champions contre l’Ajax Amsterdam au Bernabéu (1-4), et ce malgré avoir remporté le match aller à la Johan Cruyff ArenA (1-2). En 2020, le club compte notamment à son palmarès 34 titres de champion d'Espagne, 13 victoires en Ligue des champions et 4 sacres en Coupe du monde des clubs, trois records en la matière. En juillet 2000, l'ancien joueur du Real Madrid, Alfredo Di Stéfano, a été nommé président d'honneur. Le 3 juin 2017, le Real Madrid remporte la Ligue des champions en battant en finale la Juventus Turin (1-4). Le match a été jusqu'en prolongations et le Real encaisse 2 nouveaux buts qui verront le trophée lui échapper des mains. Avec les plus grands joueurs de la planète, le Real Madrid domine durant plusieurs années le football espagnol (2 Ligas en 2001 et 2003, deux supercoupes d'Espagne en 2001 et 2003, deux finales de coupe du Roi en 2002 et 2004) et européen avec une victoire face au Bayer Leverkusen (2-1) en finale de la Ligue des champions 2002 ainsi qu'une Coupe intercontinentale en 2002, une Supercoupe de l'UEFA en 2002 ainsi qu'une finale de Supercoupe de l'UEFA en 2000. Entre 1902 et 1931 le club a utilisé u écusson inspiré du blason de la ville de Madrid d'alors en matches officiels contre les autres clubs. Mais également d'autres grands joueurs évoluant en Europe comme Iker Casillas (FC Porto), Diego López (AC Milan), Juan Mata (Manchester United), Juanfran (Atlético Madrid), Esteban Granero (Real Sociedad), Álvaro Negredo (FC Valence), Roberto Soldado (Tottenham Hotspur), Javi García (Zénith Saint-Pétersbourg), Daniel Opare (Standard de Liège)… L’équipe d'Espagne championne d'Europe 2008 comportait 5 joueurs issus de la Fabrica contre 3 lorsqu’elle a remporté la coupe du monde 2010 puis 4 lorsqu’elle est championne d'Europe 2012. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. À domicile, le club évolue habituellement tout en blanc, ce qui lui vaut le surnom de los Blancos (« les blancs »). C'est la 1re finale internationale perdue par le Real Madrid depuis l'an 2000 (1-2 contre Boca Juniors en Coupe intercontinentale), 18 ans d'invincibilité et 12 finales remportées consécutivement dont : 5 Ligue des champions de l'UEFA, 3 Supercoupe de l'UEFA, 3 Coupe du monde des clubs de la FIFA, 1 Coupe Intercontinentale La très décevante saison 1976-1977 est rattrapée dès l'année suivante par un nouveau titre de champion - le 18e du club. Le premier match qui se tint au Bernabéu fut le match joué entre le Real Madrid et le club portugais de Belenenses qui vit la victoire du Real 3-1 avec un premier but signé Sabino Barinaga. La finale de 1936 est aussi le dernier match de Zamora avec Madrid, alors que vient d'éclater la Guerre civile espagnole[6]. Le départ ou la retraite de ces grands joueurs internationaux au début des années 1960 lance l'ère des « Yé-yé » au Real Madrid. Les madrilènes l'emporte sur le score de 3-2 après prolongations et remportent la 3e Supercoupe de l'UEFA de l'histoire du club. À l'occasion des 110 ans du club, le site internet du journal Marca organise un vote auprès de ses internautes pour désigner le onze idéal des joueurs du Real Madrid de 1902 à 2012[85]. En 1965, l'Atlético devint la première équipe à battre le Real Madrid depuis huit ans. En décembre 2000, le club est élu meilleur club de football du XXe siècle par la FIFA. Cette victoire permet aux hommes de Zidane d’enchaîner un 35e match consécutif sans défaite toutes compétitions confondues en 2016, invaincus depuis la défaite face à Wolfsburg en avril dernier (2-0). Cristiano Ronaldo a terminé la Liga 2014-15 avec 48 buts, un total qui lui a permis de décrocher le trophée de Pichichi. Le match inaugural voit l'opposition du Real Madrid avec le Stade de Reims, remake de la finale de la Coupe des clubs champions 1956. Face à un Barça orphelin de Neymar, un Atlético qui n'a pas pu se renforcer pour cause d'interdiction de recrutement et un FC Séville en pleine reconstruction après s'être séparé de son coach Jorge Sampaoli, le Real semble avoir une longueur d'avance sur ses concurrents nationaux. "On va essayer de faire le maximum. Cette mauvaise saison ainsi que des suspicions de fraude lors de l'élection de juillet 2006 poussent Ramón Calderón à présenter sa démission au début de l'année 2009, moins de 3 ans après être arrivé à la tête du club. Pendant l'été 1955, le Real remporte la Coupe latine, qui oppose les champions d'Espagne, d'Italie, de France et du Portugal, en battant, en finale au Parc des Princes, le Stade de Reims[14]. Florentino Pérez, déjà président entre 2000 et 2006, se présente officieusement puis officiellement comme candidat à la présidence. Le match se termine par le score de 1-1 et le Real conserve ses 6 points d'avance sur le Barça et poursuit sa série d'invincibilité, qui est de 33 matchs sans la moindre défaite toutes compétitions confondues. Le 23 novembre 1947, lors d'un match contre l'Atlético de Madrid au Metropolitano, le Real Madrid devint la première équipe espagnole à revêtir un maillot portant des numéros. Le 10 décembre, le Real bat le Deportivo La Corogne lors de la 15e journée de la Liga (3-2) grâce à Sergio Ramos, encore buteur dans le temps additionnel. Le stade possède sa propre station de métro sur la ligne 10 appelée Santiago Bernabéu. L'équipe connaît une période de grand succès entre 1905 et 1908 en remportant toutes les éditions du Championnat de Madrid et de la Coupe du Roi, où elle bat en finale l'Athletic Bilbao (ou Club Vizcaya), par trois fois, puis le Vigo Sporting[2]. Depuis, il y a eu une réduction progressive du nombre de places du fait des modernisations (par exemple, les dernières places debout disparurent durant la saison 1998-99 en raison des réglementations de l'UEFA interdisant ce genre de places pour les compétitions qu'elle organise) pour atteindre la capacité actuelle de 81 044 depuis 2011. La saison 2012-2013 commence par une victoire en supercoupe d'Espagne face au FC Barcelone (défaite 3-2 à l'aller ; victoire 2-1 au retour). L'abolition de la monarchie et l'instauration de la Seconde République en avril 1931 touche les symboles du club : il perd son titre de Real (redevenant le « Madrid Football Club ») et doit effacer la couronne, hommage à Alphonse XIII, de son blason. Suivent ensuite Pirri (1964-1980) avec dix trophées et Amancio Amaro (1962-1976) avec neuf couronnes. Les années 1960 virent la rivalité s'étendre au niveau européen lorsque les clubs se rencontrèrent deux années de suite en Coupe d'Europe, le Real Madrid s'imposant en 1960 et le FC Barcelone en 1961. Lors de la première réunion, Juan Padrós est élu président et le club adopte une tenue blanche. En 2012, le club signe avec un accord avec les Émirats arabes unis afin de construire un parc thématique dont l'inauguration aura lieu en 2015 sur une île artificielle, le Real Madrid Resort Island. Le match aller s'est déroulé le 14 août 2011 au Stade Santiago Bernabéu et s'est soldé par un match nul 2 buts partout. Vainqueur également de deux Ligues des champions, d'une Liga, d'une Coupe du monde des clubs et d'une autre Supercoupe d'Europe, l'ancien meneur de jeu des Bleus compte sept trophées à son palmarès en seulement 90 matchs, soit environ un trophée tous les 13 matchs. De ce fait, il acquiert son nom actuel : Real Madrid Club de Fútbol[2],[4]. Le 26 mai, le Real Madrid remporte la Ligue des champions pour la 13e fois contre Liverpool (3-1) et devient la 1re équipe a gagner la compétition trois années de suite (depuis la nouvelle formule adoptée en 1993) après les victoires en 2016 et 2017. Ensuite, c'est le Français Theo Hernandez qui quitte le club et rejoint l'AC Milan contre 20 millions d'euros également. Une polémique éclate sur le rôle du directeur de la police, qui serait venu menacer les joueurs de Barcelone avant le match[7]. Comme il l'a fait mercredi, Zidane loue toujours la qualité de son effectif pour expliquer sa réussite. Je l'admirais déjà quand il était joueur. Les Madrilènes accèdent de nouveau à la finale de la Coupe d'Europe en 1964, où ils affrontent le fameux Catenaccio de l'Inter Milan d'Helenio Herrera. C'est la dixième (Décima en espagnol) Ligue des champions de l'histoire du club. Lors de la première décennie de sa présidence, le Real Madrid ne remporte pas le championnat (il termine une fois à la 2e place en 1945) mais seulement la Copa del Generalísimo en 1946 et 1947, respectivement face à Valence CF (3-1) et au RCD Español (2-0), ainsi que la première édition de la Coupe Eva Duarte, ancêtre de la Supercoupe d'Espagne organisé par l'ambassadeur d'Argentine en l'honneur d'Eva Perón. Le 17 mai ils perdent la finale de la Copa del Rey 2-1 face à l'Atlético Madrid. Cette défaite marque un coup d’arrêt pour le Real, en effet, la dernière élimination du club en Ligue des champions datait du 13 mai 2015 face à la Juventus Turin. Paco Gento est président d'honneur du club. Le 27 février 2019, le Real Madrid est éliminé en 1/2 finale de la Coupe du Roi par le FC Barcelone. Le 1er mars, contre Las Palmas en Liga (3-3), le Real Madrid marque un but pour la 45e fois consécutive dans un match officiel toutes compétitions confondues et bat l'ancien record d'Espagne établit par le FC Barcelone entre 1942 et 1944, qui était de 44 matches de rang en marquant un but[50]. Ce n'est pas facile, car tous les joueurs veulent jouer un maximum de matchs. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. À partir de 1932, après l’avènement de la Seconde République espagnole, le championnat change souvent de format en étant élargi aux équipes des régions avoisinantes. L'une des idées majeures de Santiago Bernabéu lors des premières années de sa présidence concerne la modernisation des installations[1]. Le Real Madrid atteint la finale de la Coupe du Roi en 1924 mais s'incline face au Real Unión de Irun (0-1). Le 18 décembre, le Real termine son année 2016 en remportant un 3e titre international, la Coupe du monde des clubs, face au club Japonais Kashima Antlers en prolongations grâce notamment au triplé de Cristiano Ronaldo. En 2014, selon Deloitte Touche Tohmatsu, le Real est le club le plus riche du monde, avec des revenus estimé à 549,5 millions d'euros. Le FC Barcelone détient aussi le record européen du plus grand ratio de points gagnés par match, en championnat, avec un ratio de 2,42 . L'équipe est sacrée une nouvelle fois championne d'Espagne, dont Di Stéfano reste le meilleur buteur, et retrouve en finale de la Coupe d'Europe le Milan AC. Le Real élimine le Servette de Genève, le Partizan Belgrade et le Milan AC pour atteindre la finale, où il retrouve le Stade de Reims mené par Raymond Kopa. En s'adjugeant son 34e titre de champion d'Espagne, le Real Madrid prend ses distances avec le Barça, qui reste bloqué à 26 sacres. Le Real est opposé à l'Eintracht Francfort qui a battu en demi-finale le Glasgow Rangers par douze buts à quatre sur les deux matchs. C'est un record pour un club espagnol. Le surnom donné par les journalistes à ces joueurs est la « Quinta del Buitre » (« la bande du vautour » en espagnol)[4], du fait du surnom de leur chef de file, Emilio Butragueño, surnommé le Vautour pour sa capacité à « rôder » dans la surface de réparation pour profiter de la moindre occasion[33],[34]. Il profite également de la relégation de la Juventus pour attirer Fabio Cannavaro et Emerson et enrôle le buteur néerlandais de Manchester United, Ruud van Nistelrooy. L'équipe type des 110 ans du Real Madrid est la suivante : Casillas - Roberto Carlos, Hierro, Sergio Ramos - Redondo, Zidane - Míchel, Puskás - Di Stéfano, Raúl et Cristiano Ronaldo[86]. Le stade est agrandi et sa capacité portée en juin 1954 à 125 000 places. Le Real reconquiert le championnat d'Espagne perdu l'année précédente, conserve sa couronne européenne en battant en demi-finale Manchester United puis, en finale, la Fiorentina deux buts à zéro[18], puis remporte la dernière édition de la Coupe latine, face au Benfica Lisbonne. En 2001, ce contrat prit fin et le club utilisa pour une saison le logo Realmadrid.com afin de promouvoir son site web. Et pour cela, elle a besoin d'un autre discours. Les deux équipes se rencontrèrent à nouveau en Coupe d'Europe lors de la Ligue des champions 2001-2002 où le Real Madrid, futur vainqueur, remporta un duel qui fut qualifié par les médias espagnols de « match du siècle ». Les autres candidats qui s'étaient présentés face à lui se retirent peu à peu, faute de moyens financiers ou prévoyant une large victoire de Pérez, largement soutenu. Relégable après vingt journées, le Real doit son maintien au recrutement de l'Anglais Michael Keeping pendant l'hiver, qui importe au club la fameuse formation « WM » en vogue à l'époque. Ce sont ainsi 248 M€ qui ont été dépensés pour l'achat de ces joueurs, le but avoué de Florentino Pérez étant de permettre au club de décrocher sa 10e Ligue des champions dont la finale se joue le 22 mai 2010 dans l'antre du Real, le stade Santiago Bernabéu. Arrivé sur le banc du Real Madrid en janvier 2016, l'entraîneur français a décroché mercredi son septième titre avec les Merengue en remportant la Supercoupe d'Espagne aux dépens du FC Barcelone. Il démissionne à l'issue de la saison suivante, qui s'avère beaucoup plus difficile[32], même si finalement l'équipe remporte une nouvelle fois la Coupe d'Espagne. En 2000, le Réal participe à la première coupe du monde des clubs. Le 4 janvier 2016, Rafael Benítez est limogé du Real Madrid à la suite de résultats décevants en Liga BBVA.