Massa et Rosberg changent leurs pneus au dix-neuvième tour tandis que Fernando Alonso dépasse Jenson Button pour prendre la tête de l'épreuve[47],[48],[49]. Au premier passage sur la ligne de chronométrage, Vettel devance Romain Grosjean qui a passé Lewis Hamilton, Nico Rosberg, Nico Hülkenberg, Alonso, Ricciardo, Kimi Räikkönen, Pastor Maldonado, Button, Sergio Pérez, Mark Webber, Paul di Resta et Esteban Gutiérrez[84],[85],[86]. Peu après, Räikkönen percute Pérez et endommage le museau de sa monoplace. Massa dépasse Gutiérrez, Maldonado perd quatre places en l'espace d'un tour, ce qui permet à Massa d'entrer dans les points. »[102],[103],[104],[105]. Nico Hülkenberg, relâché trop tôt par son stand et ayant ainsi gêné Pérez est pénalisé d’un drive-through qu'il effectue au trente-cinquième tour ; sa course est désormais ruinée. 397. La deuxième place se joue entre Räikkönen et Hamilton qui ne doivent plus rentrer alors que Vettel et Button doivent encore chausser leurs pneus avant la fin de la course[47],[48],[49]. Sutil s'arrête au neuvième tour pour faire examiner sa monoplace et changer ses pneus. Sutil (sur une stratégie à un seul arrêt et qui tente le pari de rallier l'arrivée avec son nouveau train de pneus tendres alors que les températures baissent avec la tombée de la nuit), Ricciardo, Hamilton, Gutiérrez, Bianchi, Webber et Rosberg (qui restent calqués sur la même stratégie et, en s’arrêtant ensemble, laissent provisoirement la seconde place à Grosjean), Pic, Chilton, Van der Garde, Vettel, Grosjean, Massa et Alonso stoppent entre le vingt-neuvième et le quarante-cinquième tour[99],[100],[101]. Red Bull. Sutil, qui a perdu beaucoup de temps pour rentrer au stand, ressort en dernière position[84],[85],[86],[87]. F1, Music, Charity, TeamLH. Au championnat du monde des constructeurs, Red Bull Racing possède 377 points et devance Ferrari (277 points) et Mercedes (267 points) ; suivent Lotus F1 Team (206 points), McLaren (76 points), Force India (62 points), Toro Rosso (31 points), Sauber (19 points) et Williams (1 point). À l'entame du quatrième tour, Massa part en tête-à-queue au premier virage et abandonne[66],[67],[68]. Dans le quarante-deuxième tour, Vettel abandonne à cause d'un blocage de sa boîte de vitesses ; il immobilise sa monoplace dans la ligne droite des stands et la voiture de sécurité prend immédiatement la piste pour permettre aux commissaires de la dégager. À la lutte pour accéder aux points, Sergio Pérez attaque di Resta et Maldonado, au prix d'une manœuvre qui lui vaut une enquête des commissaires de course[84],[85],[86]. À l'extinction des feux, Lewis Hamilton, en pole position, conserve la tête tandis que son coéquipier Nico Rosberg est dépassé par Sebastian Vettel. L'ensemble du museau-aileron avant de Nico Rosberg s'affaisse brutalement dans la ligne droite alors que l'Allemand dépasse son coéquipier, toujours en difficulté avec ses pneumatiques. Hülkenberg et Pérez lancent la deuxième salve d'arrêts au stand au vingt-huitième tour. Mark Webber, qui connaît pourtant des problèmes de boîte de vitesses (sur les rapports 2 et 3), menace directement Fernando Alonso[75],[76],[77]. À la mi-course, Romain Grosjean, septième, ne s'est toujours pas arrêté et perd trois secondes au tour par rapport au rythme des leaders. Au vingt-neuvième tour, Grosjean, sixième, réalise le meilleur tour en course et dépasse Massa par l'extérieur en mettant deux roues dans l'herbe. Quatre tours plus tard, alors que les trois premiers se tiennent en une seconde, les deux pilotes Lotus peuvent utiliser leur aileron arrière mobile pour tenter de dépasser Vettel. Button et Maldonado doivent tous deux composer avec un aileron avant endommagé au départ. Webber réalise des temps similaires à ceux de Vettel et revient à une seconde de Grosjean au trente-quatrième tour. Alonso et Hülkenberg s'arrêtent au vingt-et-unième tour, Sutil et Van der Garde (il rentre sur trois roues à la suite de la perte d'une roue arrière mal fixée lors de son précédent arrêt) au suivant, Pérez et Charles Pic au vingt-troisième, Vettel et Ricciardo au suivant, Hamilton au vingt-cinquième et Räikkönen au suivant. Grosjean et Hamilton, en pneus neufs, se livrent un duel acharné et le Français parvient à contenir le Britannique. 06.09.2013 : ein weiteres, neues Anzeigemedium, gesehen an der Sarthe: Tour de Classement Michelin . Il s'arrête ainsi changer de pneumatiques pendant que ses mécaniciens tentent de résoudre son souci de DRS. Il parvient à le dépasser mais est aussitôt redoublé par le Français. Hamilton revient au contact d'Hülkenberg mais ne parvient pas à trouver l'ouverture. Vettel, champion du monde 2013, compte désormais 347 points et possède 130 points d'avance sur Fernando Alonso (217 points). Grosjean, quatrième prend l'avantage sur Rosberg en difficulté avec ses pneus. Vettel s'arrête pour la dernière fois au cinquante-cinquième tour et reprend la piste à la quatrième place derrière Räikkönen. Wähle eines der 40 Fächer sowie Hochschultyp und Abschlussart aus. Fernando Alonso est le pilote le plus rapide en piste alors que Vettel, en difficulté avec des gommes très dégradées, reçoit la consigne de ne pas chercher à résister à une attaque de l'Espagnol[47],[48],[49]. À deux tours de l'arrivée, Grosjean cède aux assauts de Webber. Toyota F1 Team s'est retirée du championnat du monde de Formule 1 à l'issue de la saison 2009.; BMW Sauber s'est retirée du championnat du monde de Formule 1 à l'issue de la saison 2009. Au premier passage sur la ligne de chronométrage, Vettel devance Massa, Webber, Alonso, Nico Hülkenberg, Nico Rosberg, Daniel Ricciardo, Pérez, Jean-Éric Vergne, Hamilton, Jenson Button, Adrian Sutil et Romain Grosjean ; Räikkönen s'est arrêté pour changer son aileron et ses pneumatiques (toujours des durs) et est désormais dernier[75],[76],[77]. The 2019 FIA Formula One World Championship was the motor racing championship for Formula One cars which marked the 70th running of the Formula One World Championship.It is recognised by the governing body of international motorsport, the Fédération Internationale de l'Automobile (FIA), as the highest class of competition for open-wheel racing cars. Au tour suivant, Vettel devance Hamilton de 7 secondes, Webber de 10 s, Räikkönen de 17 s, Alonso de 34 s et Grosjean de 35 s ; suivent Button, Massa, Rosberg et Pérez. Alors que Vettel et Grosjean sont sur le point de doubler Button (qui n’a fait qu'un seul arrêt et pointe ainsi en troisième position), le Britannique s'arrête chausser ses pneus tendres. Si Alonso prend l'avantage sur Ricciardo, il a toutefois perdu beaucoup de temps sur Räikkönen[84],[85],[86]. Pendant ce temps, Kimi Räikkönen, en délicatesse avec ses freins depuis le début du Grand Prix, est victime d’une défaillance d'un frein avant au freinage de la dernière chicane en tentant un dépassement sur Massa. La voiture de sécurité entre en action dans le seizième tour pour permettre aux commissaires de piste de nettoyer le circuit. Sebastian Vettel remporte sa douzième victoire de la saison, sa huitième consécutive depuis le Grand Prix de Belgique, ce qui constitue un nouveau record. Ne ratez aucune information sur votre pilote favori et restez informé tout au long de la saison. Buy official tickets for the F1® Canada Grand Prix. Massa ressort des stands dans le sillage d'Hamilton et devant Hülkenberg. Rosberg, mal relâché par son équipe manque d'accrocher Pérez et écope d'un drive-though. Räikkönen, depuis plusieurs tours à l'attaque sur Pérez, trouve l'ouverture dans le quinzième tour. Les mécaniciens de la Scuderia Toro Rosso libèrent Vergne au moment où Pic s'arrête et les deux monoplaces s'accrochent : la Caterham CT03 perd son aileron avant[44],[45],[46]. Sebastian Vettel remporte pour la première fois son Grand Prix national (c'est la première victoire d'un Allemand en Allemagne depuis Michael Schumacher à Hockenheim en 2006). Renault, avec le nouveau sacre de Red Bull Racing chez les constructeurs, clôt avec succès l'ère des moteurs V8 de 2 400 cm3, démarrée en 2006 ; le motoriste français a remporté soixante victoires et est associé à cinq titres mondiaux, pilotes et constructeurs. Hamilton passe par son stand au trente-huitième tour, Pérez et Alonso au suivant. Webber et Vettel font de même aux vingt-neuvième et trentième passages. Les pilotes Mercedes font tout leur possible pour rester au contact d'Alonso car Ferrari est encore en mesure de ravir à Mercedes Grand Prix la deuxième place du championnat[106],[107],[108]. Vettel conserve la tête du championnat avec 157 points et devance toujours Alonso (123 points) et Räikkönen (116 points) ; suivent Hamilton (99 points), Webber (93 points) et Rosberg (84 points). Alonso reprend la tête de la course et creuse immédiatement l'écart sur Räikkönen en pneus tendres usés. Malgré son arrêt, Grosjean garde Vettel dans sa ligne de mire et devance Button et Hülkenberg qui ne se sont pas encore arrêtés[66],[67],[68]. Vettel conserve la tête du championnat avec 89 points et devance Räikkönen (85 points) et Alonso (72 points) ; suivent Hamilton (50 points), Massa (45 points) et Webber (42 points). Mark Webber perd une dizaine de places alors que Felipe Massa gagne six places. Fernando Alonso remporte la victoire devant Räikkönen et Lewis Hamilton ; suivent Vettel, Button, Massa, Ricciardo, di Resta, Grosjean et Hülkenberg. Les modèles Classement ascendant | Classement descendant. Webber dépasse Rosberg au vingtième tour et s'empare de la seconde place. À l'extinction des feux, Lewis Hamilton, en pole position, conserve la tête dans le premier virage et devance Sebastian Vettel qui tasse fortement Romain Grosjean à gauche pour garder sa position avant le premier virage. Challenge APAC. Au huitième tour, Hamilton devance Vettel de 1 s 6, Grosjean de 2 s 5, Alonso de 8 s, Massa de 11 s, Räikkönen de 12 s et Webber de 15 s ; suivent Button, Ricciardo et Pérez. Quelques instants plus tard, Lotus F1 Team intime à Grosjean, sixième, de rentrer au stand car sa monoplace est en proie à un problème d'alimentation d'air. Toutefois, les négociations ont échoué avec la Turquie, le financement n'a pas été trouvé en France, le projet du Red Bull Ring est resté mort-né et celui d'Algarve ne s'est pas concrétisé. Kimi Räikkönen et Lewis Hamilton tirent profit de leurs pneus frais et remontent peu à peu tous leurs adversaires directs. Massa et Hamilton changent de pneus au trente-et-unième tour ; Hamilton ressort quatrième et Vettel passe en tête. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une âpre bataille s'engage alors entre Massa, Gutiérrez, Pérez et Maldonado. Sutil et Button rentrent dès le tour suivant pour changer leurs ailerons avant tandis que Massa navigue en fond de peloton. Mark Webber fête son départ en parcourant son tour d'honneur sans casque : « Ce n'était pas facile de l'enlever en roulant, j'ai mis un demi-tour avant d'y arriver. Quelques instants plus tard, Mark Webber se retrouve au contact d'Alonso et, immédiatement, le harcèle pour le gain de la seconde place. Ricciardo s'arrête au quinzième tour et Heikki Kovalainen au suivant ; entre le dix-huitième et le vingt-sixième tour s'arrêtent Bottas, Adrian Sutil, Massa, Sergio Pérez, Button (qui était pourtant en pneus durs et était remonté jusqu'à la septième place), Hülkenberg, Paul di Resta, Alonso, Hamilton, Jules Bianchi, Rosberg, Esteban Gutiérrez, Webber, Maldonado, Vettel, Giedo Van der Garde et Charles Pic[106],[107],[108]. Charles Pic procède à son arrêt au trente-septième tour et Vettel, sur une stratégie décalée, attend jusqu'au trente-huitième tour pour passer les pneus durs avec lesquels il finira la course ; ses pneus sont dès lors plus frais de huit tours que ceux de Grosjean. Une consigne d'écurie intime aux pilotes de conserver leurs positions afin d'assurer un doublé. Alonso change également ses pneus et désormais, les trois premiers se tiennent en moins de 7 secondes alors qu'il reste vingt-et-un tours[106],[107],[108]. Hamilton et Grosjean sont respectivement bloqués par Gutiérrez et Sutil, partis en pneus durs et poursuivant leur long premier relais[99],[100],[101]. Dès le sixième tour, Lewis Hamilton est difficulté avec ses pneus : Räikkönen le passe dès le tour suivant quand Webber effectue son premier arrêt. Tous les textes présents sur le site StatsF1 sont la propriété exclusive de leurs auteurs. Rosberg creuse immédiatement un écart quand Hamilton a fort à faire pour contenir Vettel. Sebastian Vettel obtient sa dixième victoire de la saison, la sixième consécutive et remporte son quatrième titre mondial consécutif. Au classement des constructeurs, Mercedes Grand Prix (563 points) se rapproche d'une cinquième couronne consécutive avec 66 points d'avance sur Ferrari (497 points) ; suivent Red Bull Racing (337 points), Renault (106 points), Haas (84 points), McLaren (58 points), Racing Points Force India (47 points), Toro Rosso (32 points), Sauber (28 points) et Williams (7 points). À l'épingle du Loews, plusieurs monoplaces s'accrochent légèrement : Pastor Maldonado et Giedo Van der Garde doivent ainsi passer par leurs stands dès la fin du premier tour pour changer leur aileron. Pour cela, voici un récapitulatif des 11 faits marquants de cette saison, qui risque de rester longtemps dans les mémoires. Hülkenberg et Vergne changent leurs pneus au vingt-quatrième tour, Rosberg et di Resta au suivant, Hamilton, Massa, Sutil au vingt-sixième, Alonso, Gutiérrez, Bottas au vingt-huitième, Webber, Bianchi au suivant, Vettel, Van der Garde au trentième, Ricciardo au trente-troisième et Button au suivant[72],[73],[74]. > Comment désactiver son bloqueur de publicité, Callum Ilott confirmé comme pilote d'essais de la Scuderia Ferrari, L’allocation de pneus pour le premier jour des essais d’après-saison, Verstappen s’impose pour la dernière de l’année, La ligne de départ de Silverstone renommée « Hamilton Straight », Q2 - Les Renault prennent la porte, Leclerc en force, Q1 - Ça passe pour Giovinazzi, Räikkönen éliminé, Une livrée spéciale pour Hamilton et Bottas à Abou Dhabi, WRC - Rencontre avec Kévin Struyff, l'ingénieur de Sébastien Ogier. Eric Staines Oliver (* 13.April 1911 in Stratford-upon-Avon, England; † 1.